La mort n'est rien,
Je suis moi. Vous êtes vous.
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,
Priez, souriez,
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.
Vous voyez, tout est bien.
(Poème attribué à Charles Péguy)
Ici, maintenant, ailleurs, autrefois, partout & toujours... J'aime regarder, me souvenir, écouter, sentir, découvrir, apprendre, comprendre, partager... Je sais que des "trucs" tristes & moches se produisent ailleurs, alors pour vous faire sourire un instant ou plusieurs, je vous ouvre avec plaisir mon carnet de p'tits bonheurs & de coups de cœur.
C'est assez rare, des paroles aussi sereines, sur la mort. Bravo, vieux Charlie d:)
RépondreSupprimerEt ça fait un temps fou que je n'avais pas vu de bobines en bois. En utilisant du fil assez fin, on doit pouvoir en faire un tricotin (avec 4 clous sans tête, bien sûr.
Oui, oui, bonne idée le tricotin!
RépondreSupprimerJ'aime bien cette sérénité presque joyeuse face à la mort...
Merci de partager ce poème...simple et beau...beau et vrai...
RépondreSupprimerLa mort est un voyage.
Nos disparus sont "hors de notre vue" mais le "fil de la vie" n'est pas coupé...
Vie visible et vie invisible se succèdent et sont comme le fil dans le tissu qui va dessus, va dessous, sans jamais s'interrompre...
Le fil n'est pas coupé, même s'il y a des bobines qu'on aimerait encore pouvoir regarder et leur dire qu'on les aime...
RépondreSupprimer(les bobines en bois, quel souvenir : avec deux crayons et un gros élastique passé par le trou central, j'en faisait une voiture qui avançait toute seule !)
Si certains pouvaient nous envoyer un p'tit coup d'fil... Qu'est-ce que ça nous ferait du bien.
RépondreSupprimerC'est très joli, très agréable "d'écouter" la musique de ce poème.
RépondreSupprimerEt l'illustration à la belle bobine nous ferait presque souhaiter de "Joyeuses Parques" ....
elle disait ...
RépondreSupprimerla mort n'est rien !
hm ...
entendu y a pas longtemps
j'embrasse
@ La Licorne
RépondreSupprimerLe fil de la vie n'est aucunement coupé puisqu'ils vivent dans nos cœurs... mais quand j'ai envie de dire mes émotions quotidiennes, mes espoirs, mes réussites à ceux qui nous ont quittés et que j'aimais, je regrette tant qu'ils soient hors de ma vue...
@ tant-Bourrin
RépondreSupprimerPar Saoulfifre, on avait une bobine-tricotin et toi, tu nous proposes un prototype de voiture élastiquée... De vrais Mc Gyver de la bobine!
Belle allusion aux bobines aimées!
@ Andiamo
RépondreSupprimerMa grand-mère m'avait promis de ma faire signe, après...
Je pense qu'à cause de sa maladie, elle a oublié sa promesse...
C'est vrai que ça serait chouette de papoter 5 minutes avec ceux qui nous manquent!
@ Yanik
RépondreSupprimerTu as raison, ça chante comme une musique ces mots doux sur la mort...
J'ai bien ri pour les Parques...;o)
@ MR. M.
RépondreSupprimerPas facile à entendre, je sais...
Biz to you too!
Mais oui quel beau texte! J'en ai gardé une copie ici mais il me semble qu'il est plus long. Je vérifie...
RépondreSupprimerCoucou, Nanou!
RépondreSupprimerC'est bien plaisant de te croiser ici!
Dans l'anthologie dont j'ai extrait ce poème, il est donné sous cette forme. Par contre, il semble que tout le monde ne soit pas d'accord pour attribuer à Charles Péguy la création de ce beau poème... Tes informations seront les bienvenues.
Bonne journée à toi!
Oui j'adore aussi puis c'est un truc qui me calme mais je me demande bien pourquoi!
RépondreSupprimerBye
Il me semble que ce texte nous apaise car il met des mots du quotidien sur l'épreuve la plus douloureuse qui soit...
RépondreSupprimerBelle journée dans le sud!
La grande faucheuse abordée sur le ton de la simplicité... C'est humain, c'est beau ! Amicalement.
RépondreSupprimerCoucou, l'écureuil!
RépondreSupprimerJ'apprécie d'autant plus ton commentaire que je sais combien tu aimes les beaux mots.
Bonne journée!
la dernière fois que j'ai entendu ce beau texte lu, c'était pour un hommage rendu à Ramon Walewijk ,ami peintre qui s'était donné la mort , juste avant l'exposition dont il était l'invité d'honneur..
RépondreSupprimerAu milieu de ses œuvres , dépouillées , marquées par une immense quête du Sacré, ces mots ont été un grand réconfort pour nous tous qui étions choqués de cette soudaine et tragique disparition..
C'est cela Croukougnouche, ce texte est un réconfort.
RépondreSupprimerIl est souvent lu lors d'obsèques pour honorer des personnes athées ou qui ne souhaitaient aucune allusion à la religion.
Une pensée pour l'ami que tu as perdu.
La mort est une inconnue, nous ne connaissons que la vie, même 1/4 de seconde avant la mort.
RépondreSupprimerSnake
Dommage que l'on ne puisse pas résoudre cette équation à une seule inconnue!
RépondreSupprimerMA-GNI-FI-QUE poème et très jolie photo ! Si seulement nous pouvions tous être aussi sereins face à la mort !
RépondreSupprimerToujours inspirée Epamin' pour notre plus grand bonheur !
P.S. : le tricotin, mon dieu j'en ai fait des kilomètres étant enfant, mais je ne sais toujours pas à quoi ça sert !!!
RépondreSupprimerEt si tout ça était vrai...« Les miracles ne violent pas les lois de la nature mais le peu que nous en savons » Saint Augustin.
RépondreSupprimerBonne journée!
@ Mathilde,
RépondreSupprimerMerci pour ces mots gentils!
Avec le tricotin, on peut faire des poupées, des bonnets, des marionnettes ou de très longues cordelettes pour jouer à la princesse Raiponce si on a les cheveux trop courts...
Bonne nuit!
@ Psy Hologram
RépondreSupprimerBienvenue dans mes esperluettes et merci pour cette belle vérité de Saint-Augustin.
Bonne nuit!
Un bien beau poème, plein de sérénité.
RépondreSupprimerÊtre serein face à la mort n'est pas toujours facile. Je trouve ce poème très apaisant!
RépondreSupprimerBon we!
Ma foi, oui, c'est serein, c'est beau de simplicité. Réaliste, je suis moins sûr. Plus facile de le dire pour soi, je vais dans la pièce à côté, que de l'appliquer à ceux qui manquent.
RépondreSupprimerTout dépend de l'épaisseur de la cloison...
RépondreSupprimer